Relever le défi de la rentabilité sur un marché à fort potentiel
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Cette étude apporte des éléments de réponse et de réflexion pour comprendre l’évolution et les enjeux du marché français de l’agriculture urbaine, analyser les transformations actuelles et futures, et déceler les opportunités de croissance à saisir.
ÉVOLUTION ET ENJEUX ACTUELS DU MARCHÉ DE L’AGRICULTURE URBAINE EN FRANCE
(72 pages)
Face à l’urgence climatique, la végétalisation des villes s’est accélérée ces dernières années afin de lutter contre les îlots de chaleur et la pollution atmosphérique.
Dans ce contexte, les jardins collectifs, les potagers sur les toits ou encore les fermes verticales fleurissent dans les zones urbaines qui se densifient d’année en année.
La production alimentaire devra augmenter de 70 % d’ici 2050 pour nourrir 9,7 milliards d’êtres humains, selon l’Organisation des Nations unies (ONU).
L’agriculture urbaine produira entre 100 et 180 millions de tonnes par an au cours des prochaines années, selon une étude prospective menée en 2018 à l’échelle mondiale.
Dans un monde où les zones urbaines ne cessent de s’étendre, le développement de l’agriculture en ville devient un enjeu majeur pour nourrir les populations.
Initiée par les citadins désireux de se reconnecter à la nature, l’agriculture urbaine se professionnalise par le biais de la technologie qui ouvre le champ des possibles au développement d’activités marchandes diversifiées.
Celles-ci s’inscrivent, la plupart du temps, dans le cadre d‘appels à projet émis par les collectivités qui voient dans l’agriculture urbaine l’une des orientations clés des villes durables de demain.
Les start-up se positionnent en première ligne pour animer ce nouveau marché de l’agriculture urbaine en France. Elles inventent les technologies et les modèles organisationnels rendant possible la culture maraîchère ou même l’élevage en milieu urbain.
Si les déclinaisons de l’agriculture urbaine se révèlent diverses, la promesse des entreprises est la même : des produits frais, locaux et sans pesticides.
De belles réussites s’opèrent dans un paysage concurrentiel mouvant, marqué également pas de nombreux échecs.
Les jeunes pousses misent sur des innovations de rupture pour faire la différence et convaincre des partenaires, publics ou privés, de les accompagner dans le développement de leur activité.
Si le défi de l’autosuffisance alimentaire des villes demeure pour l’heure utopique, l’agriculture urbaine répond à des enjeux globaux de développement durable et à une demande grandissante de la part des consommateurs.
Le confinement intervenu au printemps 2020 pour enrayer la crise de Covid-19 a confirmé le potentiel de croissance du marché. Mais il appartient aux acteurs en place de lever les freins à la rentabilité de leurs concepts en consolidant leurs business models et en s’orientant vers une pédagogie renforcée.
COMPRENDRE LE MARCHÉ DE L’AGRICULTURE URBAINE EN FRANCE
Les points-clés et enjeux : synthèse stratégique pour comprendre le marché et ses opportunités.
L’état et l’évolution du marché, ses freins et moteurs
L’analyse qualitative des stratégies, positionnements et business models des acteurs
Des exemples concrets et des témoignages d’experts
Des chiffres, graphiques et tableaux réalisés avec des données récentes
La liste des acteurs français de l’agriculture urbaine citées dans l’étude et l’implantation des start-up françaises citées dans l’étude
Les opportunités à saisir sur le marché de l’agriculture urbaine en France
Aéromate, Agricool, Agriloops, Agripolis, Agrove, Alma grown in town, AMP – Saumon de France, Astanor Ventures, Atomico, Atos, Beeing, Beladon, BNP Paribas Real Estate, Bonduelle, Bonnier Ventures, Bosch, Boulanger, Caap création (Crédit Agricole), Carrefour, Casino, Ceetrus, Click and Grow, Compagnie de Phalsbourg, CrowdFarming, Cueillette urbaine (Végétal social), Cuisine Mode d’Emploi(s), Cultivate, Cultures en Ville, Cycloponics, Dalkia, Danone Manifesto Ventures, Daphni, E. Leclerc, Edible Garden City, ELISE, Farmwall, Ferme du Bec Hellouin, Ferme urbaine lyonnaise (FUL), Fermes Lufa, Florentaise, Fnac, Franprix, Frey, Fujitsu, Futura Gaïa, Galeries Lafayette, Groupe One, Hanaco Ventures, Haniel, Home Potager, Infarm, Intermarché, InVivo, Jardiland, Kanopée Koncept, Kima Ventures, La Cantine, La Ferme de Paris, La Ferme des Possibles, La Nef, La Recyclerie, Latitude Investment Management, Le BHV Marais, Le Paysan Urbain, Le Perchoir, Le Potager des Ducs, Les Fermes de Gally, Les Jardins de la Montagne Verte, Les Jardins Détaillées, LGT Lightstone, Macadam Gardens, Marbeuf Capital, Marmelade Alsace, Masuda Seed, MCGP, Metro, Microcosmos, Mitsubishi Chemicals, Mitsui, Monoprix, Mons Capital, Mugo, Myfood, Nature Urbaine, Néograine, Novaedia, Nutreets, Occipac, Orange, Orix, Ouest Atlantique, Panasonic, Paris Habitat, Peas & Love, Prêt à Pousser, Pullman Hotels and Resorts, Renault, Seb, Semaest, Smart Farming System, Sodexo, Sofilaro, Sofimac Innovation, Sopic, Sous les fraises, Square Roots, Système U, Topager, Toshiba, Tregren, TriplePoint Capital, Truffaut, Unibail-Rodamco-Westfield, Upcycle, UrbAgri, Urbalia, Urbanfarm, UrbanLeaf, Vegz, Veolia, Véritable, Vilmorin, Vinci, Viparis, Winerie Parisienne, XAnge (Siparex), Ÿnsect
Cette étude a été réalisée par Justine Carrel, Samuel Arnaud et Nadine Bruel
justine.carrel@indexpresse.fr
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