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Le segment de l’enseignement supé­rieur devrait prendre une part significa­tive dans le développement de la filière française de l’EdTech. En 2019, sur les 430 start-up référencées par l’Observatoire des EdTech en 2019, 165 s’adressent à l’enseignement supérieur. Soit environ 38 %.

Le marché de l’EdTech dans l’enseignement supérieur se structure

Rémy Challe, directeur général d’EdTech France*, rappelait en avril 2019 que ce segment du marché de l’EdTech  était en voie de structuration. Il affirmait alors : « Auparavant, le marché était peu lisible et la pérennité des jeunes entreprises était trop précaire pour permettre le développement des EdTech dans l’enseignement supérieur ». Aussi, pour favoriser la lisibilité du marché et la compréhension des besoins des établissements, EdTech France contribue à la mise en relation des différents acteurs de la filière. L’association oeuvre notamment au rapprochement des start-up avec les établissements (universités, grandes écoles, business schools).

Par ailleurs, l’organisation et l’identification des intervenants s’améliorent progressivement. Elles favorisent désormais le déploiement des outils et des ressources proposées par les entreprises. En effet, les établissements de formation sont de plus en plus dotés de directions numériques.  Ces dernières facilitent l’implantation de solutions innovantes pour répondre aux attentes des étudiants de la génération Millennials.

EdTEch dans l’enseignement supérieur : une coopération stratégique 

“L’enseignement supérieur est le premier marché éducatif à vivre sa transformation numérique”, explique Marie-Christine Levet, Partner et fondatrice d’Educapital **.  Pourquoi ? Notamment parce ce que la transition vers des outils numériques apparaît comme un relais de croissance pour les universités et les grandes écoles. En outre, cette évolution s’avère nécessaire pour répondre aux attentes des nouvelles générations d’étudiants. La digitalisation des apprentissages est ainsi identifiée par les observateurs comme un élément de différenciation primordial dans ce secteur très concurrentiel. En effet, face à une concurrence internationale accrue, les établissements doivent se doter des meilleurs outils technologiques pour attirer et fidéliser les étudiants.

Aussi, intégrer des ressources éducatives créées grâce aux nouvelles technologies se présente comme un choix stratégique. Cette démarche apporte une valorisation à l’offre d’enseignement. Comme le soulignait Le Journal du Net fin 2018, l’étudiant est “devenu un client qu’il faut savoir séduire et fidéliser”. Rémy Challe confirmait dans Le Monde en 2018 les bienfaits de l’EdTech pour les étudiants : “Les institutions de l’enseignement supérieur doivent apprendre à dialoguer et à travailler avec les entreprises EdTech , pour améliorer avec elles l’expérience de l’apprenant.”
D’autre part, il est important pour les établissements de l’enseignement supérieur de s’afficher comme pionniers de l’utilisation de ces outils. “L’écosystème évolue et dans ces cas-là, il vaut mieux être un early adopter, comprendre, s’engager dans l’écosystème et l’innovation plutôt que de refuser le changement”, indique Benjamin Vedrenne-Cloquet, président et fondateur du fonds d’investissement spécialisé dans l’éducation et l’information EdtechX Holdings.

“Il y a un besoin de diversifier ses activités pour minimiser les risques et se développer. […] Nous aurons besoin de nouvelles activités et ces nouvelles activités vont arriver par la high-tech”.
_ Jean-François Fiorina, directeur adjoint de Grenoble École de Management (avril 2019, blog personnel)

Une offre orientée vers les services

Les apports de l’EdTech dans l’enseignement supérieur concernent le perfectionnement de la qualité de l’apprentissage mais aussi l’amélioration de la communication entre les différents acteurs au sein de l’établissement et une appréhension plus efficace des questions administratives et de gestion. Une multitude d’acteurs se positionnent désormais sur ces services et produits, offrant aux établissements un vaste choix de solutions à intégrer à leur plan de développement.

Les acteurs de l’EdTech déjà implantés dans le domaine de l’enseignement supérieur sont dans leur grande majorité ceux qui ont développé une offre de simplification de la gestion et de l’organisation des établissements.

Par exemple, la start-up française AppScho développe une plateforme permettant de centraliser l’information pour les étudiants.  Ces derniers peuvent accéder à l’intégralité des informations relatives à leurs études, à la gestion du campus, aux évènements, à l’actualité et à la communication de l’établissement. Elle permet notamment “de travailler sur la rétention et l’engagement des étudiants”, souligne Educapital** dans son rapport publié en 2018. Elle  fait partie des services choisis par de nombreux établissements pour améliorer le quotidien de leurs étudiants (ESCP Europe, HEC Paris, EDHEC, Neoma Business School…).
Une autre start-up, Study&Co, fondée en juillet 2017, centralise toute les informations administratives relatives aux démarches et aux droits pour les étudiants (visa, logement, finances, santé, transports et vie de campus). Grâce à l’intelligence artificielle, elle permet la mise à jour de l’information et une personnalisation du service selon les besoins et le profil de chaque étudiant.

“Bon nombre de directeurs d’école de management connaissent déjà des solutions comme Oscar Campus, Academ, AppScho, Testwe, My Job Glasses, Ubicast, Alumnforce”
_ Rémy Challe, d’EdTech France (juin 2019, Cabinet Headway)

Des innovations technologiques pour l’apprentissage

Parallèlement aux acteurs proposant des outils de gestion ou des services annexes pour les étudiants, certaines start-up se sont implantées dans les établissements du supérieur en proposant un produit innovant ayant pour vocation d’améliorer les apprentissages. C’est le cas de l’entreprise Didask. Fondée en 2015, elle se démarque par une approche basée sur les sciences cognitives. “Didask permet à chacun d’apprendre durablement en s’appuyant sur le fonctionnement naturel du cerveau”, explique la start-up. Plus précisément, elle a développé une plateforme utilisant les tests comme socle d’apprentissage. Chaque cours prend la forme d’une carte, elle-même composée de capsules correspondant à des notions de base.

Domoscio est un autre exemple de start-up proposant des innovations technologiques pour l’apprentissage au sein de l’enseignement supérieur. Fondée en 2013, elle s’est positionnée principalement sur deux aspects : l’apprentissage adaptatif (adaptive learning) et l’ancrage mémoriel (c’est-à-dire la répétition en fonction de la vitesse d’oubli). Outre ses entreprises clientes (SNCF, Banque de France, Bouygues Télécom …), Domoscio travaille avec des universités.

Parmi les start-up dédiées à l’amélioration des apprentissages, certaines se sont positionnées plus particulièrement sur la pédagogie. C’est le cas de LearnAssembly. Cette start-up française propose une dizaine de parcours et des formations sur-mesure développées en partenariat avec la BNP et les écoles de commerce Essec et Audencia Business School. Il s’agit de proposer, grâce au numérique, un contenu accessible en permanence et répondant aux nouvelles envies des étudiants. Ainsi, la start-up présente sa plateforme comme une offre venant en supplément des cours en présentiel.

*  Association dont l’objectif est de fédérer l’ensemble des acteurs de l’écosystème EdTech français. EdTech France regroupe 170 entreprises, des partenaires institutionnels et associatifs, des grandes entreprises et des institutions d’enseignement supérieur, tous intéressés par la transformation des apprentissages à l’ère du numérique. L’association œuvre à l’interaction des entreprises innovantes de la filière. https://edtechfrance.fr/

** Créé en 2017, Educapital est le premier fonds d’investissement européen dédié à la filière de l’EdTech.  http://www.educapital.fr

 

Études de marché dans les écoles et universités : comment s’y prendre pour étudier un marché et en comprendre l’état de santé ? Comment repérer et analyser les mutations et les tendances d’un marché ? Comment étudier les stratégies commerciales et marketing des entreprises d’un secteur ? Comment décrypter le jeu concurrentiel des forces en présence d’un secteur ? Comment déceler les perspectives d’un marché, ses freins et ses moteurs ?

Pour tout cela, en complément des fondamentaux théoriques dispensés aux étudiants, rien de plus utile que de s’appuyer sur des exemples d’études de marché existantes, réalisées par des professionnels de l’information économique ! En effet, en offrant aux étudiants et aux enseignants des exemples concrets et actuels de marchés analysés, elles sont une ressource pédagogique d’une grande richesse pour les universités et les business schools. La preuve par l’exemple, avec les Études de marché réalisées par la rédaction d’IndexPresse !

La lecture d’études de marché déjà réalisées apporte une méthodologie et des compétences aux étudiants

Pourquoi ? Parce que lire (et analyser) des études de marché permet de comprendre comment structurer sa réflexion et aide à repérer les informations stratégiques à rechercher pour analyser un marché. Voici quelques exemples :

L’analyse de la structure permet d’organiser ses idées

La consultation d’études, et notamment de leurs sommaires, favorise la réflexivité des étudiants. Reflétant la problématique d’un marché et ses éléments de réponse, les sommaires aident à comprendre les différents éléments à prendre en compte pour analyser un marché. Ils facilitent aussi l’organisation des recherches d’information pour chaque partie. Par exemple :

  • La première partie fait souvent le point sur l’état du marché avec le repérage d’un fil rouge, d’une problématique qui sera développée dans les parties suivantes.
  • Les grandes parties suivantes apportent une analyse qualitative pour répondre à la problématique du marché. Il peut s’agir des stratégies de développement, des tendances de consommation, des points de vigilance, des perspectives d’évolution, de témoignages et d’exemples… Elles s’appuient sur des données quantitatives (graphiques, données chiffrées) et sur des informations issues de la presse sectorielle.
  • Une partie est consacrée à l’analyse des forces en présence, choisie minutieusement pour apporter un éclairage en plus de l’identification des principaux acteurs du marché.
  • Enfin, une synthèse stratégique permet de comprendre rapidement les enjeux actuels et à venir du marché, ses freins et moteurs, ses perspectives. Cette partie est l’aboutissement du travail de recherche et d’analyse. Elle permet d’aller rapidement à l’essentiel et de faire gagner du temps au lecteur de l’étude (rubrique « Points-clés et enjeux » dans nos Études).

Des exemples ?
Voir sommaire de l’Étude Luxe et digital
Voir le sommaire de l’Étude sur les Fintech

La nature des sources utilisées permet de prendre conscience de l’importance d’exploiter des informations fiables et récentes qui offrent des exemples concrets

À l’heure ou l’information et les données chiffrées sont très accessibles en apparence, l’analyse d’un marché nécessite une vigilance quant aux sources à utiliser pour produire un document de qualité. En parcourant les Études et en consultant les bibliographies toujours présentes en fin de document, les étudiants comprennent l’intérêt d’utiliser des sources fiables et récentes pour réaliser leurs travaux. Cela leur permet de développer leur exigence en matière d’information économique, ce qui leur sera fort utile dans leur futur professionnel. Dans cette démarche, l’identification des apports de la presse professionnelle est essentielle, ce type de ressources permettant d’illustrer les enseignements théoriques avec des concrets, grâce aux stratégies des entreprises relayées dans les articles et commentées par des experts.

La consultation des Études aide à approfondir sa culture économique

Grâce aux contenus qu’elles proposent, la lecture d’études de marché permet aux étudiants d’approfondir leur culture économique et leur connaissance des marchés. Les sujets sont choisis car ils concernent des marchés avec une problématique actuelle : des marchés porteurs, émergents ou en mutation. Ils permettent donc de rester en veille sur les évolutions des marchés et des stratégies des entreprises.

Des exemples ?
Consulter la liste des Études réalisées par la rédaction

Les compétences acquises sont utiles pour créer son activité future et optimiser son employabilité

Au fait avec une méthodologie éprouvée par des professionnels de l’information économique, les étudiants montent en compétence. Savoir réaliser une étude de marché de qualité leur apporte un avantage notable lors d’un montage de projet personnel, en stage, en junior entreprise ou en entreprise. Savoir identifier les informations stratégiques dans des contextes évolutifs, appliquer une méthodologie rigoureuse, être efficace dans sa recherche d’information et être en mesure de proposer une analyse fiable sont autant d’atouts nécessaires aux fonctions de manager et de décisionnaire que les étudiants occuperont à leur sortie de l’école.

Les études de marché sont des supports pédagogiques précieux pour les enseignants !

Pour les mêmes raisons qu’évoquées ci-dessus, les Études de marché sectorielles sont des outils pédagogiques précieux pour les enseignants : structure, méthodologie, sources, réflexion, exemples concrets, stratégies commerciales et marketing actuelles… Le fond et la forme des Études sont des aides à la construction des cours. Elles apportent une richesse aux enseignements et permettent de se connecter aux réalités des marchés et des entreprises.

Statistiques et ressources numériques.
Bibliothèque numérique, médiathèque, infothèque, learning center, learning hub… Les bibliothèques des Écoles de Management et des universités mettent à disposition de leurs publics une sélection de ressources numériques utiles dans le cadre des programmes de formation et contribuent au développement des compétences informationnelles des étudiants, des enseignants-chercheurs et des doctorants. Parmi les défis à relever, ces bibliothèques doivent faire l’acquisition des bonnes ressources, c’est-à-dire celles qui seront suffisamment utilisées pour témoigner de leur intérêt et de leur adéquation avec les attentes des usagers.

Afin de mesurer les usages, les statistiques fournissent des données quantitatives particulièrement stratégiques. Les informations qu’elles proposent (nombre de requêtes et nombre de sessions notamment) sont des indicateurs qui permettent de connaître l’adéquation avec les besoins des usagers et bien entendu de constater le rapport entre le budget investi et les usages effectifs (le fameux coût au clic…).
Aussi le challenge est grand – et passionnant ! – pour les bibliothèques :
– Proposer les bonnes ressources numériques : celles qui seront utilisées et utiles aux succès des étudiants
– Donner toutes leurs chances aux ressources mises à disposition des publics
– Et ainsi, utiliser (et  conserver) le budget alloué à ces ressources
Dans cette optique, les démarches mises en œuvre par les bibliothèques peuvent être identifiées comme de réelles stratégies marketing, dont nous avons repéré 4 points essentiels à surveiller.

1. Ressources numériques : concevoir une offre orientée « utilisateur »

Cela peut paraître évident… Mais il semble toutefois utile de rappeler que les produits et les services documentaires ont tout à gagner à être pensés comme des produits marchands, c’est-à-dire dont la conception doit partir de l’analyse des besoins et des pratiques des cibles. En d’autres termes, pour que les statistiques d’utilisation soient bonnes, les ressources doivent être adaptées aux besoins en information et aux pratiques des enseignants-chercheurs et des étudiants. Concernant la sélection des ressources numériques, celle-ci ne sera efficace qu’à travers un dialogue permanent avec les usagers. Si l’étude des besoins est une étape indispensable en amont, elle est aussi à prolonger sur la durée afin de percevoir (si possible à temps !) une éventuelle mutation attentes. Aussi, les enquêtes de besoins et de satisfaction tiennent une place importante dans les actions menées.

En outre, la veille professionnelle des équipes permet sans aucun doute de compléter les données recueillies auprès des publics, et ainsi d’affiner la politique d’acquisition de l’établissement. Cette dernière prend d’ailleurs un sens aigu à l’heure du digital et se doit d’être en adéquation avec les mœurs des usagers. En effet, au regard des modes de vie des digital native, de leur pratique d’Internet et de leur rapport à l’information, l’offre se doit d’être totalement accessible pour être régulièrement utilisée. Permettant à chacun de s’informer et de mener des recherches où et quand il le souhaite, l’accès aux ressources numériques 7 jours sur 7 et 24h/24 grâce aux serveurs distants n’est plus à démontrer. Également, lorsqu’elle est possible, la recherche fédérée (ou recherche multi-bases) est un atout à utiliser pour séduire des usagers qui ont parfois du mal à faire face à la diversité de l’offre numérique et qui peinent à utiliser des techniques de recherche autres que l’usage quotidien des moteurs de recherche en ligne. Dans ce sens, les bibliothèques renforcent leurs services (notamment pédagogiques) et fournissent de véritables prestations professionnelles aux enseignants-chercheurs.

2. Développer des services liés à l’offre numérique (formation, aide, accompagnement)

Au-delà de la conception d’une offre bien calibrée et dont les accès sont optimisés, la démarche marketing mise en œuvre par les bibliothèques incite au développement de services proposés aux usagers. Ayant pour principales vocations la formation et l’accompagnement à l’utilisation des ressources, ces services nous intéressent particulièrement comme éléments favorisant l’augmentation des statistiques d’usages. Guides méthodologiques, présentations, vidéos, tutoriels, ateliers documentaires, tchat de type « Ask a Librarian », renseignements, conseils et accompagnements personnalisés sur rendez-vous… Les services sont variés et complémentaires pour que les usagers connaissent les ressources (nature, contenus, couverture, utilité) et les utilisent correctement (stratégies et techniques de recherche, analyse des résultats…).

L’offre de formation reste un maillon central dans les actions à destination des usagers. Dispensées à la rentrée, proposées ponctuellement et possibles à la demande en cours d’année, les actions de formations offrent de nombreux avantages : présentation et sensibilisation aux ressources, formation à la recherche d’information en général et sur une sélection de ressources, conseils, mise en place d’un lien avec les usagers. Autant d’efforts utiles pour éviter l’insatisfaction qui engendrerait la fuite des usagers vers des recherches infructueuses sur des moteurs de recherche grand public et donc la baisse des statistiques d’utilisation des ressources…

3. Communiquer, promouvoir, fidéliser

Soutenus par des outils pédagogiques modernes, les services proposés s’appuient nécessairement sur une communication réfléchie. En effet, dans la définition de la stratégie marketing, l’élaboration du plan de communication a un rôle capital. Ici l’objectif est clair : promouvoir l’offre et fidéliser les usagers. Supports print et numériques efficaces, publication d’informations pratiques et de contenus rédactionnels sur le portail et via les réseaux sociaux (planning éditorial), newsletters… La visibilité de l’offre – et notamment de l’offre numérique – est un défi majeur à relever pour les équipes. A cet égard, s’adapter pour être là où se trouvent les usagers s’avère indispensable, en complément d’une présence physique toujours essentielle au sein même de la bibliothèque.

Capables de distinguer les différents types d’usagers, les bibliothèques ont tout à gagner à communiquer différemment avec un enseignant-chercheur, un étudiant ou un doctorant. En effet, au-delà de la promotion de l’offre, la fidélisation par une communication personnalisée est un moyen opportun pour booster les statistiques d’utilisation des ressources sur la durée.

4. Utiliser son réseau

Quoi de mieux que de se servir de l’expérience (réussie !) des autres ? En matière de marketing documentaire, la mutualisation des pratiques a toute sa place. Le développement de l’entraide au sein du réseau professionnel peut s’avérer être une option payante. Échanges de bonnes pratiques, partage de matériaux pédagogiques, mutualisation de la veille sur les ressources… Cette collaboration peut aussi être étendue aux prestataires. À travers diverses interventions, formations et documents de communication, ils peuvent être des partenaires utiles dans la promotion des ressources et dans la médiation auprès des publics pour favoriser la bonne utilisation des ressources.

Et vous, où en êtes-vous concernant ces 4 points de vigilance ?